
Le saviez-vous ? La tradition du « Vertep », à l’origine petit théâtre de marionnettes transportées dans une boîte, remonte à la première moitié du XVII° siècle et fut initiée par les étudiants des écoles théologiques. Le Vertep était à la fois un drame chrétien qui rappelait l’évangile de la naissance du Christ, les bergers, les Rois Mages et Hérode et une satire de la société.
Dimanche dernier, à l’issue de la Liturgie, nous avons eu la plaisir de voir et d’écouter un Vertep, préparé par nos jeunes mamans.
Merci pour ce beau moment, joyeux : il a fallu de la ténacité aux mamans pour apprendre aux enfants, en ukrainien, comptines et koliadys. Voyez la photo au bas des informations.
Espérons que ces enfants pourront rendre visite aux paroissiens à Noël prochain, comme le veut la tradition.
A tous et à chacun, nos meilleurs vœux pour cette année. Que Dieu vous préserve de la maladie.
Notre communauté a célébré Dimanche, 19 janvier 2010, la Fête du Baptême du Christ. Les textes liturgiques nous rappelaient qu’elle révélait la divinité du Christ. Le Père Ihor a béni les eaux et les paroissiens, selon la coutume, ont emporté de l’eau bénite chez eux.
Le repas paroissial a réjoui les convives par les koliadys, soutenues par l’accordéon du Père Ihor. Et Daria nous a enchantés de sa voix qui reprenaient des chants du répertoire classique et folklorique ukrainien. Pour chaque koliada ou chant, elle nous expliquait l’origine et la façon dont le chant s’était transmis…Merci à elle pour ce grand moment d’émotion et de culture ukrainienne.
Merci aussi à tous nos invités qui se sont dérangés pour honorer notre invitation et à tous ceux et celles qui ont aidé à préparer ce moment religieux et festif.
La séance s’est déroulée chez Oksana que nous remercions de son accueil.
« Dieu est avec nous », thème de l’année, prenait une signification particulière avec la Fête de Noël toute proche. Nous avons travaillé l’extrait de l’Evangile de Luc, chapitre 2, 1-16.
L’extrait d’évangile a été lu de façon à bien repérer les événements racontés par l’évangéliste. Les enfants ont ensuite redit le texte, chanté avec les parents la koliada » Vo Véflèyemi néni novéna » pour marquer les versets de l’évangile. Ils ont ensuite reconstitué la lecture d’évangile avec les personnages de la crèche distribué. Ils étaient 6 enfants de 4 à 8 ans. Puis une initiation de quelques minutes a été donnée aux tout petits de 2 à 3 ans.
Lesya et Yarena ont préparé des cartes pour nos paroissiens plus âgés, pour leur redire qu’ils sont partie intégrante de la paroisse et que nous ne les oublions pas. Les cartes sont en cours d’envoi.
Oksana a fabriqué et décoré, avec les enfants, des biscuits sur le thème de Noël.
Une idée a germé : pourquoi pas aussi un groupe de réflexion « caté » avec les parents ?
Les enfants du catéchisme vous souhaitent une bonne année 2020.
Le comité paroissial remercie tous ceux qui ont répondu à notre invitation. Il est heureux de ce moment convivial que nous avons pu vivre ensemble.
Le premier temps fort, religieux, nous a rassemblés autour de la Liturgie en mémoire du Baptême du Christ dans le Jourdain et a été suivi de la traditionnelle bénédiction des eaux. Ceux qui le désiraient ont emporté chez eux de l’eau bénite.
Puis ce fut le temps du repas : kutia, périchkys à le viande de veau ou aux légumes en apéritif, salade de Noël, Borchtch, holubtsis et varynykys, assiette gourmande pour terminer.
Le Père Ihor et son violon ainsi que Pani Yimost ont entamé les koliadys et les enfants nous ont réjouis avec le Vertep. Merci à Oksana, aux enfants et à leurs parents qui permettent non seulement de perpétuer cette tradition ukrainienne mais aussi de la sauvegarder. Ils étaient 10 jeunes à égayer l’ambiance.
Merci aussi à tous les volontaires qui se sont investis pour rendre ce repas possible : vous les connaissez. Mention spéciale à Tatyana pour la cuisine, Hania pour la trésorerie, Serge et Marika pour les clémentines de Corse et les chocolats.
Bonne année à tous encore. Nous vous souhaitons avant tout la santé mais aussi beaucoup de sérénité et espérons vous revoir l’an prochain.
Repas Paroissial du 14 Janvier 2018
Cathéchisme du 30 Août 2017




Lioubomyr HUSAR
Mgr HUSAR a succédé au cardinal LUBACHIVSKY à LVIV, en prenant en 2001 la tête de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne.
Grand intellectuel mais proche du peuple, il n’a cessé d’œuvrer pour lui et pour l’Eglise. Il était reconnu par tous, même par ses opposants, comme une grande autorité morale. C’était un homme d’une intégrité sans conteste qui n’a jamais hésité à fustiger les politiques, surtout lorsqu’ils s’en prenaient aux plus pauvres.
En 2011, considérant que son état de santé était précaire et qu’il était devenu presqu’aveugle, il démissionna de sa fonction. Mais il se tint constamment au courant des affaires de l’Egliseet de l’état du peuple ukrainien.

Il fut celui qui ré-organisa l’Eglise gréco-catholique ukrainienne au sortir de ses « catacombes ». Et il fut celui qui ramena le siège de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne dans le berceau du christianisme de la Rus’, à KIEV.
A toute la hiérarchie de notre Eglise, nous exprimons nos condoléances et l’assurons de nos prières.
Cathéchisme du 10 Avril 2017

Le Baptême du Christ marque l’entrée de Jésus dans la vie publique et aussi l’intervention directe du Père qui confirme : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé. » La double nature du Christ est une notion difficile. Alors les enfants et adolescents ont reconstitué deux copies d’icônes de cet événement, occasion de restituer ce qui est écrit sur l’image. Pour mémoriser, ils ont ensuite complété un texte qui reprenait l’ événement tel que l’ont raconté les évangiles.
Nous avons aussi rappelé Pâques qui sera célébré ce Dimanche : Taras a lu l’extrait de Saint Luc, chapitre 24, versets 1 à 8, « Le tombeau vide. Message de l’Ange »


Cathéchisme du 13 Février 2017







La belle broderie de Pani Verhun, mémoire de notre communauté, a embelli l’autel éphémère où le Père Ihor a célébré la Saint Liturgie.VERTEP






L’objectif est de rassembler, d’ordonner et de publier toute l’activité de immigration ukrainienne du territoire du Nord de la France. Cette étude historique et culturelle est soutenue par la Politique de la Ville et son administration. Christine a également pris contact avec l’historien Dupont-Melnytchenko qui a publié un livre et de nombreux articles sur immigration ukrainienne.
Un appel vous est lancé pour ne pas hésiter à transmettre vos archives personnelles, vos souvenirs afin de rendre vivante la mémoire de nos parents.
Nous vous ferons parvenir, dans un mail futur, tout ce qui concerne cette recherche. N’hésitez pas à faire connaître ce projet autour de vous.AU REVOIR et à très bientôt



Sachez que notre plus grande joie est que cette fête permet à toutes les sensibilités de la diaspora d’être présente, d’échanger des idées, de mieux se connaître : image de l’unité de l’église et de l’Ukraine ?
La Confession
Voici un compte-rendu de la rencontre sur le thème de la confession qui a eu lieu ce Samedi 1er octobre et la Liturgie du Dimanche 2 octobre 2016.
Le Père Volodymyr NESTERENKO, missionné par le pape dans le cadre de l’année de la miséricorde, a présenté la confession qui, loin d’être l’exercice rebutant que nous ressentons parfois, est en réalité un sacrement de réconciliation et d’harmonie avec soi-même, les autres et Dieu.
Ce compte-rendu, en pièce jointe, ne vous prendra que quelques instants à lire et il est très réconfortant.
Merci au Père Nesterenko d’être venu et au Père Ihor de l’avoir invité.
La confession
Présentation et commentaire par le Père Volodymyr NESTERENKO
Missionnaire délégué par le Pape en l’Année de la Miséricorde
Paroisse Saint Michel Archange Lille-Croix
1er et 2 octobre 2016
S’il est un sujet étrange et difficile actuellement, même pour des catholiques pratiquants, c’est bien celui de la Confession qui est en réalité le sacrement de la réconciliation. Ce qui devrait enthousiasmer dans cette démarche nous apparaît souvent comme une obligation pénible.
La paroisse Saint Michel Archange de Lille-Croix s’est inscrite dans le mouvement, non seulement de l’Eparchie Saint Volodymyr Le Grand de Paris, mais plus globalement dans celui de l’Eglise toute entière pour laquelle le Pape François a promulgué cette année 2016 « Année de la Miséricorde ». Elle a été très heureuse de recevoir le Père Volodymyr Nesterenko les 1° et 2 octobre dans le cadre de cette mission.
Dans un premier temps, un groupe de paroissiens s’est réuni autour de lui, le Samedi 1° octobre 2016, pour écouter une explication sur la confession : définition et sens. En effet, l’Evangéliste Luc (chap.6, verset 36) nous encourage à nous montrer « miséricordieux comme notre Père est miséricordieux ». Qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Voici ce que nous a dit le Père Nesterenko :
Première question : Pourquoi une Année de la Miséricorde a-t-elle été proclamée ?
« Pour éprouver la joie de nous retrouver avec le Christ parce que nous nous étions perdus », répond le Père Nesterenko. Et aussi pour retrouver les hommes, notre prochain. Les chrétiens oublient souvent cette réalité et oublient donc la Confession. Pour être capable d’être miséricordieux comme le Père, envers nous-mêmes et envers les autres, il faut Le rencontrer dans le sacrement de la réconciliation. Les hommes d’aujourd’hui sont pris dans la perte du sens du péché et, par conséquent, dans la perte de la vérité. Chacun, dans la confession, est donc invité à lire dans sa propre conscience avec réalisme et vérité.
Deuxième question : Qu’est-ce que la Confession et pourquoi se confesser ?
C’est un signe important que veut donner cette Année de la Miséricorde. Dans la confession, nous rencontrons un Père qui pardonne pour faire l’expérience du pardon et de la miséricorde de Dieu. Le chrétien ne doit pas oublier que ce sacrement a été institué par le Christ lui-même qui a dit : « Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » Jean, chap.20, verset 23. Saint Paul écrit également dans son Epître II aux Corinthiens (chap.5, verset 18) : « Et le tout vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec Lui par le Christ qui nous a confié le ministère de la réconciliation. »
Il est vrai que la notion de péché semble entraver notre liberté humaine. Mais pour le chrétien, se confesser, c’est avoir une juste conception du péché : acte volontaire, négatif, qui veut du mal. C’est engager sa propre responsabilité, sa volonté et sa liberté dans cet acte. Or, par le sang qu’Il a versé, le Christ accorde son pardon à tous. L’unique explication pour la confession, c’est que le Christ a dédié cette fonction à l’Eglise à travers ses serviteurs comme l’a écrit Saint Jean dans le verset 23 du chapitre 20 cité plus haut.
Le symbole de la confession est le prêtre qui, par l’absolution, remet les péchés et accorde le pardon inconditionnel de Dieu pour toutes nos fautes.
Troisième question : comment se confesser ?
- Pour se confesser, le chrétien commence par effectuer son examen de conscience : faire une liste de ses péchés est certes une méthode acceptable mais le plus important est de se mettre en présence de Dieu. Et la meilleure façon d’y parvenir est de lire et d’écouter régulièrement la Parole de Dieu à travers la Bible et l’Evangile. C’est elle qui éclairera et dévoilera nos manquements vis-à-vis de Dieu et des autres.
- Un autre élément essentiel de la confession est le regret, c’est-à-dire, avoir la contrition pour nos manques d’amour, nos péchés, c’est reconnaître notre manque d’amour envers Dieu et envers nos frères. Se confesser, c’est non seulement renouer mais aussi continuer notre dialogue avec Dieu.
- Enfin, en donnant l’absolution, autrement dit le pardon pour nos péchés, le prêtre donne également une « pénitence ». Cette pénitence ne doit pas être considérée comme un châtiment mais comme « un médicament » pour nous soigner et nous guérir.
Enfin, la confession ne peut en aucun cas entretenir un sentiment de culpabilité. Le pardon pour les fautes confessées est définitif et total. Il faut donc repenser le sens de la confession dans le sens non d’une culpabilisation mais d’une invitation à aimer Dieu davantage, à ne pas interrompre notre dialogue avec Lui.
Quand Dieu est le centre de notre vie, quand nous Lui donnons un espace, nous sommes davantage en harmonie avec nous-mêmes, avec les autres, avec son Eglise.
En conclusion :
Le chrétien doit repenser ce que représente la confession pour sa vie spirituelle. Dieu seul peut pardonner. Et seule la personne qui expérimente la miséricorde, en l’occurrence, ici, dans la confession, peut être miséricordieuse pour les autres.
La confession n’est pas un tribunal mais il n’est pas évident de se sentir pardonné, de nous aimer nous-mêmes. Parfois, le sentiment de culpabilité subsiste. Alors, il faut nous rappeler que « nous sommes rachetés et pardonnés », que Dieu ne peut nous sauver sans notre collaboration. Il nous offre cette possibilité dans la confession dont le prêtre n’est qu’un instrument.
La confession est un lieu où la grâce circule, où Dieu nous sanctifie et où Il se rend aussi présent dans notre vie.
A l’issue de cette leçon, des questions ont été posées au Père NESTERENKO qui a répondu en nous éclairant sur les positions de l’Eglise. Et le groupe lui a posé de nombreuses questions touchant notamment à divers sujets actuels. Nous remercions le Père NESTERENKO pour l’accueil qu’il a donné à nos questionnements parfois fort peu conventionnels. La visite s’est terminée le Dimanche 2 octobre 2016 par…des confessions et une Liturgie célébrée avec le prêtre de notre paroisse, le Père Ihor Nakonychnyy.
Nous souhaitons aux autres paroisses que le Père Nesterenko visitera autant de joie sereine à l’écouter que nous. Et, toute petite paroisse que nous sommes, comme nous sommes heureux de participer à cette proposition que le Pape François a initiée et de nous sentir membres de notre Eparchie et de l’Eglise universelle en cette année de la Miséricorde !
Cathéchisme du 5 Avril 2016
Dix jeunes, enfants et adolescentes, ont participé à la session de catéchisme de ce Mardi 5 avril 2016.
Qui était Saint Jean l’Evangéliste ? Où vivait-il ? Comment a-t-il rencontré le Christ ? Que disent de lui les Evangiles ?
Ce fut aussi l’occasion de se rappeler le pays de Jésus, la Palestine de l’époque, de lire l’extrait de l’Evangile de Saint Jean narrant la Résurrection du Christ (chapitre 20, versets 1 à 9) quand Marie-Madeleine se rend « au tombeau » et s’écrie : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau… ».
Ensemble, ils ont mimé cet extrait d’Evangile pour mieux se l’approprier. Les plus jeunes, de 5-6 ans ont pu illustrer le miracle du paralytique et la session s’est terminée par de « l’iconographie », moment toujours très attendu de tous, enfants et parfois adultes…
Il faut aussi mentionner une distribution œufs en chocolat, un peu en avance sur notre calendrier liturgique mais très appréciée par les enfants.
La prochaine fois, la session continuera sur Saint Jean: l’écriture de son Evangile ainsi que la vie apostolique de Saint Jean.
Prochaine date pour le catéchisme : le Jeudi 7 juillet 2016, toujours Rue Pharaon de Winter à Lille, 14h15-17h
Cathéchisme du 11 Février 2016
Nous avons étudié Saint Luc.
Avant, nous avons un peu révisé qui étaient Saint Matthieu et Saint Marc.
Saint Luc était médecin et peintre. Il a suivi l’apôtre Paul et a décidé d’écrire ce qu’il savait de Jésus. Il a raconté de nombreuses guérisons. Il a beaucoup écrit sur la miséricorde et la tendresse de Jésus.
Il est le premier à avoir dessiné une image de la Mère de Dieu.
Avec Colette, nous avons écrit une icône de Luc.
Nous avons également écrit une carte pour nos paroissiens qui ne peuvent pas se déplacer pour venir à la messe. Nous avons pensé à eux.
Nous avons aussi écrit une carte pour Lessie et Yarysia qui n’ont pu être présentes.
La prochaine séance de caté aura lieu le Mardi 5 avril 2016, à 14h15.
Alexia, Lisa,Lou-Anne,Lukas et Marianna
Fête du Baptême du Christ
Nous avons célébré, Dimanche 17 janvier, avec deux jours d’anticipation, la Fête du Baptême du Christ. Le Père Ihor a chanté La Liturgie et a ensuite procédé à la bénédiction de l’eau.
Les enfants ont participé au rituel de la bénédiction de l’eau : Richard a apporté avec son père l’icône qu’il coloriait et qui représentait le baptême du Christ. Alexia, Marianna et Lessya menaient la procession des plus jeunes : elles portaient des cruches d’eau, versées ensuite dans le bassin contenant l’eau à bénir, et les plus jeunes avançaient avec des cierges allumées.
Il est toujours réconfortant pour tous de voir des enfants : mais les voir se déplacer autour du Père Ihor pour voir le rituel de la bénédiction de l’eau était particulièrement réjouissant. Leur curiosité a dynamisé la bénédiction.
La Paroisse peut encore fournir à tous ceux qui n’ont pu venir Dimanche de l’eau bénite en bouteille : n’hésitez pas à demander.
Rizdviana Koliada
Après la Liturgie, la paroisse avait organisé un repas.
Monsieur Ghesquière, directeur du Collège Saint Marie nous a gracieusement prêté des locaux. Nous lui en sommes reconnaissants. C’est ainsi que nous avons pu accueillir 80 adultes et 14 enfants.
La Koliada s’est invitée en début de repas. Notre jeune diaspora nous a interprété un scénario de circonstance : chasse des mauvaises pensées et souhaits pour une belle année 2016. Nous remercions ces jeunes de perpétuer ainsi nos anciennes traditions, de les faire vivre, et de nous avoir fait chanter les koliadys et chtchedrivkys.
Le repas a obtenu un grand succès : merci à Hania pour ses holubtsis, oseledtsys, borchtch et desserts gourmands. Tout était délicieux. Merci aussi à Agnès qui nous a prêté sa maison pour préparer les varynykys. Et à Pani Yimost qui n’a pu être présente mais qui nous avait transmis sa kutia.
Nous avons pu chanter des koliadys et des chants traditionnels ukrainiens : le Père Ihor et Mr Nesterenko ont accompagné ces mélodies. Quel plaisir pour tous et merci à eux !
Nous vous remercions d’être venus. Sans votre présence, aucune fête n’est possible. Nous espérons vous revoir tous l’année prochaine. Nous vous souhaitons la meilleure année qui soit, et pour beaucoup d’entre nous, le bien le plus précieux qui soit : une bonne santé, le plaisir de nous rencontrer et de partager encore des moments de fête.
Mémoire du HOLODOMOR
La Commémoration du Holodomor s’est passée dans les circonstances dramatiques des attentats terroristes à Paris. Nous vous remercions de vous être déplacés, malgré ces événements. Nous avons pu nous souvenir ensemble et assister à ce « travail de mémoire » comme l’a écrit Mr de Lara.Nous remercions aussi tous ceux qui de près ou de loin ont contribué au succès de cette commémoration : de la musique à la mise en place de la réception; de l’apport de gâteaux à l’affichage des panneaux, aux photos, aux relais FaceBook. Ou encore l’invitation que vous avez faite à vos amis et qui sont venus avec vous. Et encore la décoration de La Chapelle de l’Université. Nous n’oublions pas non plus nos jeunes et efficaces babysitteuses.Nous n’écrivons pas de noms: une liste, avec la meilleure volonté, risque un oubli. Sachez que chacun de vos gestes a été apprécié et que c’est grâce à ce soutien, et chaque geste est unique et participe de la réussite, que nous avons pu mettre en place cette Commémoration. Que cela nous encourage à poursuivre pour l’Ukraine. Retenons et mettons en pratique ces mots que Mgr Gudziak a répété à plusieurs reprises dans son homélie : « N’aie pas peur et crois.. ». N’ayons pas peur et continuons à travailler pour faire reconnaître le Holodomor comme génocide.
Monseigneur Borys Gudziak a été vivement intéressé par notre exposition qui présentait la lutte du peuple ukrainien contre la répression soviétique des années 1930-1933 et pour sa survie tant physique que nationale. L’exposition nous a été fournie par L’institut Ukrainien de la Mémoire Nationale de Kiev, avec les Archives des Forces de Sécurité ukrainiennes, le Centre de recherche du mouvement de libération et le Comité public pour la mémoire des victimes du Holodomor-génocide de 1932-1933 en Ukraine. Cette exposition est inédite et présentée pour la 1ére fois en France puisque traduite et mise en image par le groupe « Holodomor de Lille ». C’est pour nous une grande fierté que Monseigneur Gudziak ait distingué ce travail et qu’il ait demandé à le présenter à Paris où les Ukrainiens commémorent ce week-end le Holodomor.
Un article paru le 21 Novembre 2015 dans le quotidien « Nord Eclair ». C’est tard mais vu les circonstances !
Un lien sur le site de « La Voix du Nord »
Un autre lien sur le site du « Portail de L’Ukraine »
Cathéchisme

Lors de la deuxième séance, ils ont travaillé sur évangéliste Saint Matthieu puisque les quatre évangélistes sont toujours représentés sur la porte royale.Les enfants ont eu la surprise de la visite de paroissiens, Basile, Danièle, Janine. Nous espérons tous que la leçon les a intéressés !

Les prochaines séances auront lieu en juillet. Le Comité paroissial travaille toujours à l’idée d’une réflexion spirituelle pour les adultes.
Fête de Pâques 12 Avril 2015
Enfants du catéchisme et prière du Carême
Voici cette très brève prière de Carême de Saint Ephrem :
« Seigneur et Maître de ma vie,éloigne de moi l’esprit d’oisiveté, de découragement, de domination et de vaines paroles.
Accorde à ton serviteur l’esprit d’intégrité, d’humilité, de patience et de charité.
Oui, Seigneur et Roi, donne-moi de voir mes fautes et de ne pas juger mon frère. Car, Tu es béni pour les siècles des siècles. Amen ! »
Les enfants du catéchisme ainsi que les grands-parents et parents qui ont assisté à la séance vous souhaitent à tous un bon Carême.
Manifestation du 01/02/2015
Certains de nos paroissiens bravant le froid et la pluie ont participé à la manifestation qui avait été organisée ce dimanche 01 février.
Célébration de Noël 11/01/2015
Le Comité paroissial remercie tous ceux qui ont permis cette célébration de Noël ! Ceux qui ont passé plusieurs jours de leur temps à organiser et préparer cette journée. Ceux aussi qui ont pris le temps de venir : sans eux, sans vous, sans nous, pas de célébration, pas de fête !
Le Collège Sainte Marie de Roubaix nous a accueillis dans ses locaux : nous en remercions très vivement Monsieur Delvallée, Directeur, qui n’a pas hésité un seul instant à les prêter.
Merci au Père Ihor pour sa Liturgie : il était venu la veille pour préparer la salle, avec Basile et Taras. Les icônes qui nous suivent partout où nous allons, étaient décorées pour la circonstance.
Il a laissé les enfants lire, en français, à leur manière, l’Evangile selon Saint Matthieu : le violon alto d’Alexia soulignaient les versets de l’Evangile.


Quant au repas traditionnel, quel succès : comme d’habitude Pani Hadema a tout pensé et organisé, y compris le décor de la salle. Et vous avez tous trouvé délicieux la kutia, les oceledtsis, le borchtch, les holubtsi, les varenyky, les gâteaux, la liqueur de cerises de Taras et la Horilka. Bien entendu, les habitués l’ont aidée pour ces préparations, vous les connaissez, nous ne voulons oublier personne, alors pas de nom ! Tout de même, signalons une nouvelle, Ludmilla, pour le borchtch. Et signalons également que nous étions 87 dont 11 enfants. Merci à tous.

Et puis cette année, nous avons eu le plaisir de recevoir, en début de repas, les souhaits pour la Nouvelle Année par un jeu théâtral organisé par l’Association « Le Portail de l’Ukraine » : Vodinnia Kozé, traduisons par « Le dit de la Chèvre ». Ce fut très émouvant pour l’ancienne diaspora de voir ces jeunes perpétrer une tradition culturelle ukrainienne. Irina a expliqué, en français, que la mise à mort de la chèvre symbolise la fin de l’an « ancien ». Ce jeu théâtral mixe des Koliadys, chants de Noël annonçant la naissance du Christ, à une tradition profane de vœux de bonheur et de richesse. Le jeu théâtral se compose également de dialogues, déclamations et danses. Le groupe nous a emmenés dans cette histoire et nous a enthousiasmés par sa gaîté et ses souhaits. Les costumes ukrainiens traditionnels étaient magnifiques et entendre des enfants de 7 à 10 ans parler un ukrainien parfait nous émeut toujours.. Merci au « Portail de l’Ukraine » d’avoir partagé ce moment avec nous.
La Fête était lancée ce qui signifie aussi que nous ne pouvions rester sans chanter, et nous avons beaucoup chanté. Le Père Ihor et Pani Yimost avaient préparé les paroles des Koliadys et l’accompagnement à l’accordéon et à la guitare a embelli les chants.



Le mot de la fin revient au Père Ihor. Il nous a encouragés à ne jamais nous replier sur nous-mêmes en une communauté frileuse mais à nous ouvrir à l’accueil les uns des autres. Enfin, il nous a rappelé les paroles de Saint Athanase qui explique le sens de Noël : » Le fils de Dieu est devenu homme afin que l’homme devienne fils de Dieu ».
Dans la Joie de Noël, le Comité Paroissial vous souhaite une belle année 2015.
Vous trouverez en fin d’article le compte-rendu de l’assemblée synodale du 11 Nov 2014
Nous vous invitons également à donner votre contribution par internet. Vous possédez nos mails et surtout, notre site vous indique un mail spécifiquement réservé à la Paroisse.
Entrée en SYNODE
Des églises gréco-catholiques ukrainiennes
En Ukraine, à l’étranger et dans notre Eparchie
Le Patriarche Sviastoslav, les évêques de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne, notre Eparque, Mgr Gudziak, continuent la réflexion qui avait débuté dès la fin de l’Eglise du silence et des catacombes sur les terres d’Ukraine et la liberté que lui octroyaient les événements historiques qui marquèrent la fin de l’Union soviétique. C’était il y a vingt-cinq ans.
La hiérarchie de l’Eglise gréco-catholique avait immédiatement mis en oeuvre une réflexion pour travailler à un renouveau spirituel et à un approfondissement du sens de la vie et de la mission de tout chrétien.
Cet automne 2014 marque l’entrée en SYNODE de toutes les paroisses qu’elles se situent en Ukraine ou en d’autres terres sur le thème :
La Paroisse vivante, lieu de rencontre du Christ vivant
Tous, membres de cette Eglise, nous sommes appelés, en communauté à cet acte de réflexion sur ce sujet. Nous sommes invités à apporter notre pierre à la construction du cap que nos Patriarches, évêques et éparque ont fixé pour 2020 : le renouveau de notre Eglise.
A cet effet, la Paroisse gréco-catholique ukrainienne de Saint Michel Archange à Lille-Croix a fixé la date du 11 novembre 2014 pour une réflexion commune des paroissiens et pour apporter leur contribution au SYNODE.
Quelques points de REPERES
Pourquoi l’Eglise entre-t-elle en SYNODE en 2014?
Pendant des années notre Eglise, à cause du contexte politique, s’était attachée à survivre afin de ne pas disparaître.
Depuis sa « légalisation », elle s’attache au renouveau de ses structures et surtout à la consolidation et au renouveau spirituels.
Le SYNODE qui se tiendra fin 2015 s’intègre dans le mouvement amorcé par notre Eglise pour le choix d’une spiritualité consciente et voulue par la personne.
Voici quelques repères expliquant la démarche commencée :
2006 : Le Patriarche Loubomyr Husar a convoqué un Synode dont le thème était le suivant :
« La sainteté des communautés »
Il posait la question suivante : « Comment la personne peut-elle cheminer vers le Royaume et progresser en sainteté? ».
2011 : Le Patriarche Sviatoslav nous soumet cette interrogation : « Où la personne peut-elle rencontrer le Christ Vivant ? ». La paroisse est le lieu de cette rencontre. Comment peut-on réaliser cela ?
Eléments pour la réflexion
Le groupe préparatoire à la démarche du Synode a repéré six éléments et priorités incontournables pour la réalisation de la « Paroisse vivante, lieu de rencontre du Christ vivant ». Ces éléments forment les points de la réflexion et sont tous orientés vers un seul but : comment la spiritualité et la sainteté peuvent-elles s’incarner dans la vie quotidienne du chrétien afin qu’il puisse remplir sa vie et sa mission ?
Les priorités suivantes ont émergé du travail du groupe préparatoire :
– La Parole de Dieu et la catéchèse
– La Liturgie et la Prière : tradition des Chrétiens orientaux
– Le service aux autres ou diaconie : tourné vers la personne
– Mise en œuvre et reconnaissance de tous les talents
– Communion et unité : témoignage, héritage de l’apôtre Pierre
– Esprit missionnaire : accessibilité de la Parole et ouverture aux autres
Paroisse Saint Michel Archange
Assemblée synodale du 11 nov 2014
Après une prière, le Père Ihor a remercié les paroissiens présents qui ont consacré cette journée pour le Synode, pour faire avancer la paroisse. « La paroisse est notre maison, a-t-il dit, nous en sommes tous les responsables. »
Par un très bref rappel historique, il a replacé, dans son contexte, la marche de l’Eglise gréco-catholique.En effet, sous le soviétisme, les prêtres devaient adhérer à l’église officielle, sinon ils étaient déportés en Sibérie. De 4000 prêtres en 1946, il n’en restait plus que 300 en 1980.
La libéralisation politique, il y a 25 ans, a créé, pour l’Eglise gréco-catholique, une nouvelle donne. De l’opposition dans laquelle elle vivait, libre, elle devait maintenant s’interroger sur sa façon d’assumer sa mission dans le monde actuel et la société contemporaine. Elle devait se demander comment elle pouvait se sauvegarder tout « en devenant elle-même ».
L’Eglise gréco-catholique ukrainienne, c’est actuellement, 7 millions de fidèles, 53 évêques dispersés à travers le monde.
De nouvelles exigences : un cap pour 2020
Nouvelles conditions, nouvelles exigences donc. Quelle orientation pour 2020 ?
La Paroisse est le lieu de la rencontre avec Dieu. Elle est la cellule originelle de l’Eglise. Comment voyons-nous notre paroisse à l’horizon 2020 ? Comment porter la Parole de Dieu au monde ? La Parole de Dieu est agissante mais comment la faire connaître ? La Liturgie est sanctifiante. Comment offrir ces dons à tous ?
Alors, cette nouvelle étape appelle une nouvelle démarche : chaque paroisse est missionnaire. Quelle est la mission, le sens de la présence de notre paroisse, ici dans le Nord ?
Depuis 2006, l’Eglise gréco-catholique est entrée dans un cheminement de renouvellement. Le Patriarche Lubomyr Husar avait entamé une réflexion sur « la Sainteté, valeur commune du peuple chrétien ». Comment incarner et vivre ce désir ? Alors, l’Eglise a proposé une nouvelle étape sur ce chemin : « Une Paroisse vivante, lieu de rencontre du Christ vivant ».
Promulgation :
Le 17 octobre 2014, notre Eparque, Mgr Gudziak, a émis le décret de promulgation pour l’entrée en Synode de notre éparchie afin de la revivifier et de revivifier les vies de ses paroisses. Fin janvier 2015, le Synode de l’Eparchie se réunira à Chevetogne sur le thème de la Paroisse vivante, lieu de rencontre du Christ vivant. Chaque paroisse y sera représentée par son prêtre ainsi que deux paroissiens. Les évêques veulent entendre leurs fidèles afin de déterminer leurs besoins.
En ce moment, se dessine le projet de toute l’Eglise. Et nous, comment voyons-nous notre paroisse ? Avec quelle perspective d’avenir ?
La Parole de Dieu et la catéchisation
Pour qu’une Paroisse soit vivante, elle doit répondre à une triple vocation et service envers :
– La Parole de Dieu et la catéchisation
– La Liturgie et la Prière
– Le service aux autres
La Parole de Dieu
De même que les prophètes ressentaient la présence de Dieu dans leur vie, de même chaque chrétien doit être attentif à la Parole vivante qu’est le Christ. Cette Parole devrait occuper une place centrale dans son quotidien.
Quelle est la place de la Parole de Dieu dans notre paroisse ?
- La Parole de Dieu est lue et écoutée à la messe.
- Le commentaire du prêtre est toujours intéressant et secoue souvent nos certitudes. Les explications, comme l’a dit un paroissien, sont « salées », ouvrent des perspectives, entraînent à la réflexion et débouchent sur un questionnement.
Mais les paroissiens aimeraient approfondir cette Parole, se réunir pour mieux la comprendre et la méditer. Mais où ? Comment ? L’un de nos points faibles, c’est que la paroisse ne possède pas de lieu propre.
Suggestions :
Nous comprenons que Dieu nous parle par sa Parole. Alors, pour mieux la comprendre, des solutions simples peuvent être mises en place :
- Poster sur internet, la veille ou l’avant-veille, l’Evangile du Dimanche. Les fidèles pourraient le lire et poser des questions, soit par internet, soit déposer leurs questions dans une boîte à l’entrée de la chapelle. Le prêtre y répondrait le Dimanche suivant.
- Le prêtre pourrait également répondre aux questions par internet. Cela bénéficierait à tous les paroissiens.
- Le commentaire de l’Evangile pourrait également être posté sur internet.
Cela permettrait aux absents de suivre et de participer, en quelque sorte, à la lecture de la Parole.
La catéchisation
Une question : éprouvons-nous le besoin d’approfondir nos connaissances bibliques, évangéliques, religieuses ?
Pour certains paroissiens, non. Le catéchisme appris est encore bien vivant. Mais la plupart désire connaître davantage et mieux apprendre ce en quoi ils croient.
- Les 60 Evangiles lus dans l’année liturgique suffisent-ils à la connaissance et à la compréhension de notre foi ?
- Quelle nécessité déterminons-nous dans ce domaine ?
- En effet, durant la messe, nous recevons de nombreuses informations, des commentaires mais nous n’avons pas le temps de nous les approprier.
Suggestions :
- Proposition d’une soirée de réflexion par mois sur un thème déterminé à l’avance
- Idée d’une journée de recollection : elle permettrait une forme de catéchisation et consoliderait la communauté.
- Sans oublier que le sermon posté sur internet participerait également d’une sorte de formation.
La vie liturgique et la prière
Les paroissiens ont exprimé le désir de mieux connaître la Liturgie. En effet, ils ne comprennent pas toujours ce qui se dit, le sens des signes de croix, par exemple. A quel moment se signe-t-on ? Pourquoi ?
La Liturgie
- Des explications permettraient une meilleure cohésion de la communauté priante et une prière davantage en union.
- Ils aimeraient connaître l’originalité de la tradition orientale dans la Liturgie et la différence avec la messe latine.
- Quelles sont les Fêtes propres à l’Eglise gréco-catholique ukrainienne ?
- Quelles sont les étapes qui mènent à l’Eucharistie ?
- Qu’est-ce qu’un prêtre ? Que nous transmet-il ?
Suggestions
- Ces questions pourraient trouver leur place dans les soirées de réflexion ou lors d’une récollection
- Il faut réaliser un calendrier avec des dates, prévoir, ce qui permettrait à ceux qui le voudraient de se rendre libres pour une soirée ou plusieurs.
La prière
Une difficulté comme pour les propositions de réunion : il nous manque un lieu. Mais ce n’est nullement un empêchement pour prier ensemble.
- Les paroissiens peuvent prier ensemble, chacun chez soi, à une heure donnée. Une telle chaîne de prière a déjà été mise en place récemment pour prier pour la paix en Ukraine.
- On communiquerait des intentions de prière par internet.
Le service aux autres ou Diaconie
L’Eglise a une mission de service social et de recherche de justice pour tous. La communauté paroissiale a une responsabilité dans ce domaine.
- La communauté a déjà participé à l’envoi d’argent pour les besoins médicaux en Ukraine.
- Elle se mobilise pour le catéchisme des enfants : réunion dans des maisons particulières, préparation de goûter.
- Elle se mobilise aussi pour des associations : participation à des repas.
Suggestions :
Des actions très simples peuvent être mises en place et nous voudrions privilégier des actions de proximité :
- Visites aux malades ou aux personnes seules.
- Aider les associations qui nous sollicitent : collecte de jeux ou de vêtements.
Ressources : les actions proposées sont simples, concrètes et faciles à mettre en place. Il faut viser un travail de proximité, sur le long terme. Cela portera du fruit.
En conclusion
Une Paroisse vivante, lieu de rencontre avec le Christ vivant
C’est le rôle de chaque paroissien de travailler à rendre la Parole et la paroisse vivantes. C’est de la responsabilité de chacun, avec ses propres charismes.
Notre paroisse possède des aspects positifs : elle a perduré. Elle est riche d’une tradition liturgique forte et elle propose certaines litanies en français afin que tous puissent mieux participer. Les paroissiens s’impliquent pour vivre leur foi malgré leur petit nombre. Ils tiennent à leur patrimoine liturgique et veulent garder leur patrimoine spirituel. Ils souhaitent l’ouvrir aux autres.
Ils proposent quelques actions simples, réalisables rapidement afin de vivifier leur communauté.
Vincent a accepté de représenter la paroisse au Synode. Milka a accepté de centraliser les informations concernant les malades et les personnes isolées.
Puisse l’Esprit Saint nous inspirer dans notre chemin vers la Paroisse vivante comme lieu de rencontre avec le Christ vivant.
« Sauvegarder la culture Ukrainienne »
Un article du journal « Renouveau »
Marie Wojnarowski témoigne de son activité en france et en Ukraine pour faire vivre la culture Ukrainienne, voici l’article: